Le premier forum brésilien concernant les problématiques cybersécurité et autres opérations dans le cyberespace (cyber warfare) aura lieu à Brasilia les 30 et 31 octobre 2012. Réunissant les quelques unités et acteurs institutionnels brésiliens, on y trouvera en particulier le CDCiber qui est l'entité centrale autour de laquelle se structure la filière cyberdéfense des autorités brésiliennes.
La problématique cyber est relativement récente au Brésil mais une volonté politique réelle participe à son développement au travers de moyens alloués et de coopérations renforcées. La première d'entre elles vient des États-Unis, auquel cas on trouvera parmi les seuls intervenants non-brésiliens un officier du corps des Marines pour une intervention étonnamment intitulée "Cyber conflits - La République Populaire de Chine" (1) !
On notera avec intérêt que l'une des présentations portera sur le retour d'expérience du CDCiber lors du sommet RIO + 20 de juin. Il est cependant regrettable que seuls les Américains soient invités et surtout participent pleinement au développement des capacités cybernétiques brésiliennes. Typiquement la France, dans le cadre de ses excellentes relations bilatérales, du feuilleton Rafale et de l'excellence reconnue de son Agence nationale, aurait sans aucun doute toute sa place comme promoteur d'une vision différente mais complémentaire de celle de l'oncle Sam.
(1) en vérité, faut-il vraiment s'en étonner ?
La problématique cyber est relativement récente au Brésil mais une volonté politique réelle participe à son développement au travers de moyens alloués et de coopérations renforcées. La première d'entre elles vient des États-Unis, auquel cas on trouvera parmi les seuls intervenants non-brésiliens un officier du corps des Marines pour une intervention étonnamment intitulée "Cyber conflits - La République Populaire de Chine" (1) !
On notera avec intérêt que l'une des présentations portera sur le retour d'expérience du CDCiber lors du sommet RIO + 20 de juin. Il est cependant regrettable que seuls les Américains soient invités et surtout participent pleinement au développement des capacités cybernétiques brésiliennes. Typiquement la France, dans le cadre de ses excellentes relations bilatérales, du feuilleton Rafale et de l'excellence reconnue de son Agence nationale, aurait sans aucun doute toute sa place comme promoteur d'une vision différente mais complémentaire de celle de l'oncle Sam.
(1) en vérité, faut-il vraiment s'en étonner ?
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