lundi 30 janvier 2017

#FIC 2017 : impression, soleil couchant

L'exercice de rendre compte d'un événement, quelle qu'en soit l'ampleur et le thème, est une véritable difficulté puisqu'il ne peut être que partiel et parfaitement subjectif avec tous les travers et les affects que cela suppose. Aussi resterais-je d'une grande prudence et souligne que les propos tenus ici ne relèvent que de la vision d'un minuscule bout de la lorgnette. Car l'édition 2017 du FIC me laisse perplexe pour plusieurs raisons.

lundi 16 janvier 2017

Le premier prix « François Perrin » de la cyber bourde 2017 attribué à la Présidence du Brésil

Dans mon billet du 31 décembre 2016 [1] faisant le bilan de l'année écoulée, apparaissait un éclair de lassitude inquiétude lucidité quant aux radotages de ce blog depuis un certain nombre d'années. Le fait ici de radoter consiste à réitérer si ce n'est marteler ce qui est considéré par la plupart comme les fondamentaux, le "socle" minimum de mesures multidimensionnelles [2] qu'il est/serait pertinent de mettre en œuvre pour protéger au mieux son système d'information (SI).

Malheureusement (?), l'actualité cyber et quotidienne des derniers mois [3] permet d'observer un phénomène inquiétant. Il s'agit - enfin - de la prise de conscience des risques par les décideurs c'est à dire une prise de conscience de leur (in)suffisance face à ce "nouveau risque" qui existait déjà, même avant l'avènement de l'internet.

mercredi 4 janvier 2017

Cyber FBI...aïe aïe aïe !

(https://twitter.com/FBI/status/815584098676674560)
Si la critique est facile, il convient dans certains cas d'en saluer la nécessité salutaire de la prononcer. Autant pour permettre à celui ou à celle qui en est la victime de prendre conscience de ses possibles limites. Mais aussi, d'une certaine manière, pour pourfendre donneurs de leçons et gardiens de la morale pour qui le devoir d'exemplarité s'applique surtout aux autres. Prenons par exemple le FBI, cette légendaire agence fédérale étasunienne qui traque les criminels et qui eut à sa tête durant près de 37 ans un directeur qui fit trembler tout le système politique de son époque. Y compris jusqu'à la Maison Blanche. Mais soyons indulgent et, du passé, faisons table rase. Pour arriver à ces derniers jours où deux faits ridicules, et sans doute anodins pour le commun des mortels, se révèlent tout simplement affligeants.