Le 1er juin 2012, le New York Times sous la plume de David Sanger, publiait un scoop sur l'affaire Stuxnet. Ce code malveillant considéré comme la première "cyberarme" par de nombreux commentateurs aurait bien été développé par les USA et Israël dans le cadre d'un programme secret appelé "Olympic Games".
Une semaine après ce scoop retentissant, le procureur général des États-Unis, Eric Holder Jr, autrement dit le ministre de la Justice, nommait deux procureurs généraux en vue de conduire les investigations sur de possibles fuites d'informations classifiées. Des fuites possiblement orchestrées de la Maison-Blanche vers les journalistes et ce malgré que le président Obama ait défendu son administration.
Depuis, et c'est un record, ce sont six fonctionnaires de son administration qui sont poursuivis "pour avoir communiqué des informations classifiées" alors que bruissent des rumeurs concernant de possibles poursuites vers une strate d'un niveau supérieur : proches et/ou conseillers voire services de renseignement ?
L'extrême compartimentage de l'opération et le peu de personnes impliquées, tant aux USA qu'en Israël, pourraient expliquer ce qui n'est, pour le moment, qu'une rumeur. A noter que c'est le FBI, dont les moyens et les outils informatiques se sont considérablement enrichis ces dernières années - lutte anti-terroriste oblige, qui mène l'enquête et qui aurait mis en évidence les liens entre les six personnes poursuivies.
Une semaine après ce scoop retentissant, le procureur général des États-Unis, Eric Holder Jr, autrement dit le ministre de la Justice, nommait deux procureurs généraux en vue de conduire les investigations sur de possibles fuites d'informations classifiées. Des fuites possiblement orchestrées de la Maison-Blanche vers les journalistes et ce malgré que le président Obama ait défendu son administration.
Depuis, et c'est un record, ce sont six fonctionnaires de son administration qui sont poursuivis "pour avoir communiqué des informations classifiées" alors que bruissent des rumeurs concernant de possibles poursuites vers une strate d'un niveau supérieur : proches et/ou conseillers voire services de renseignement ?
L'extrême compartimentage de l'opération et le peu de personnes impliquées, tant aux USA qu'en Israël, pourraient expliquer ce qui n'est, pour le moment, qu'une rumeur. A noter que c'est le FBI, dont les moyens et les outils informatiques se sont considérablement enrichis ces dernières années - lutte anti-terroriste oblige, qui mène l'enquête et qui aurait mis en évidence les liens entre les six personnes poursuivies.
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